Cet article est écrit par Bastienne, du blog Parents Enfants Connectés, qui a pour vocation de montrer en quoi vos enfants viennent servir votre évolution personnelle et comment le chemin du développement personnel et spirituel peut servir votre parentalité.
Alors que notre belle planète est en proie à des attitudes humaines prédatrices qui la malmènent, des Etres participent au contraire à prendre soin d’elle. J’ai toute ma gratitude pour le blog de Mélanie qui va dans ce sens.
Cet article explore la pollution psychique, dont on ne parle pas car la majorité des personnes n’en a pas conscience. Pendant votre lecture, je vous invite à avoir l’état d’esprit qui consiste non pas à vous demander si cela est vrai ou pas, mais plutôt à accueillir l’expérience d’autrui pour la ranger en vous dans les « hypothèses » et l’ouverture au « pourquoi pas ? ».

La Terre n’est pas seulement une boule de matière

Quand on explore l’invisible, on se rend compte que tout émet une vibration : les cailloux, les lieux, nos émotions etc. Ce n’est pas parce qu’on ne voit pas la vibration, qu’elle n’existe pas. D’ailleurs, quand quelqu’un souhaite optimiser son lieu de vie, il peut faire appel à un géobiologue qui mesure un certain nombre de variables dont des vibrations.

Certaines personnes arrivent à entrer en contact et à ressentir la conscience de la Nature et de la Terre.

Une vision énergétique de la pollution

Lien entre pollution psychique et phénomènes climatiques

Un jour, une amie, éco-énergéticienne, m’expliquait que ce qui pollue bien plus largement la Terre, ce sont les pensées et les émotions des personnes.

Dans sa vision, la Terre sait gérer et transformer la pollution physique, en revanche, la pollution psychique des terriens lui est plus difficile. Voici un message de la conscience de la Terre qu’elle avait « reçu ».

Les pensées de destruction et les émotions de souffrance participeraient également à créer des phénomènes climatiques que l’on nomme « catastrophes ».

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Pour illustrer cela, j’avais entendu une médium expliquer qu’un territoire sujet aux inondations était souvent un lieu sur lequel avait eu lieu des guerres par le passé, et que cette eau était là pour nettoyer.

Vision énergétique de la pollution

Pollution psychique : la souffrance et les émotions réprimées

Très personnellement cette fois, étant très empathique, je ressens les émotions des autres, que celles-ci soient exprimées ou non.

Lorsque les personnes savent reconnaître leurs émotions en tous genres et les exprimer, l’ambiance est plus légère et plus douce, car c’est dit. Evidemment, ceci est plus facile si l’on est à l’aise avec les émotions. Mais c’est un apprentissage comme un autre ! Plusieurs pistes sont présentes dans les catégories Communication et Emotions de mon blog.

En revanche, quand on est face à des comportements qui nient et cachent la vérité (de ce que l’on pense et ressent réellement), cela entraîne une dissonance entre celle-ci et ce qui est énoncé, et une lourdeur car ça ne circule pas.

Donc, l’émotion me paraît fonctionner comme le pus, il vaut mieux que ça sorte pour avoir moins mal et guérir plus vite.

C’est aussi le même phénomène que l’amoncellement de poubelles chez soi. Au bout d’un moment, le domicile ressemble à un dépotoir (et ça a même un nom : le syndrome de Diogène).

Déchets psychiques

Je vois donc le fait de gérer son émotionnel comme une pratique écologique d’utilité publique ! C’est aussi pour cela que nous parlons de pollution psychique.

Comment prendre soin de ses déchets psychiques, de sa pollution psychique ?

Prendre conscience de ses pensées et de ses émotions, de sa pollution psychique

La pollution psychique est peu mise en avant dans de nombreuses cultures sur cette planète, ni enseignée à l’école, on y vient quand-même doucement.

Il existe de plus en plus de pratiques qui permettent ce retour vers soi : la méditation, simplement « ralentir », s’écouter, des techniques de communication basées sur le cœur : la Communication Non Violente, la méthode Espere.

C’est une attitude intérieure d’attention et de présence à soi.

Prendre un petit carnet (en papier recyclé 😉 pour noter ce qu’il se passe en soi (sensations, pensées, émotions) peut être d’une grande aide au départ.

Donc il se peut que vous réalisiez que vous avez des pensées récurrentes de jugement de l’autre, de jalousie, d’avidité, de rancœur ou de colère.

Reprendre sa responsabilité et sortir de son état de victime

Parfois, nous ne sommes absolument pas conscients de ce que nous émettons, mais cela ne veut pas dire que l’on n’en est pas responsables.

Donc on a le choix de continuer à entretenir telles pensées à notre sujet ou sur les autres, de prolonger un état émotionnel désagréable ou pas.

On peut simplement laisser ces pensées et ces émotions nous traverser et nous en occuper.

Comment ?

> En visualisant que l’on récupère nos pensées et émotions émettrices de souffrance, colère etc.

> Les transformer en mettant le focus sur nos besoins et des actions porteuses pour nous et la relation en question.

> En demandant à la Terre de bien vouloir transformer ce caca invisible en compost.

compost biodégradable

Aller plus loin avec l’éco psychologie, ou le Travail qui Relie

L’éco anxiété est un état de plus en plus répandu et se réfère à l’angoisse et à d’autres émotions en lien avec la destruction du vivant.Pour faire face à cela,Joanna Macy, pionnière en écopsychologie a mis au point une méthode inspirée des traditions bouddhistes et amérindiennes.

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Aussi appelé Le Travail qui Relie, ce processus collectif permet de se relier à soi-même, aux autres et à la toile du vivant. Il permet de composter nos peines et faire germer une nouvelle manière d’être au monde. Pour toutes les personnes qui veulent aller plus loin, il existe des formations qui apportent une autre profondeur que la lecture de livres.

Remettre les pieds SUR et DANS la Terre

Nous faisons partie de la nature

Reprenons contact avec notre nature d’être humain, notre instinct et notre âme afin d’équilibrer les 3 centres (corps, esprit, âme).

Se priver d’une vie rêvée dans le but de « sauver la planète » me questionne. Par exemple, ne pas avoir d’enfant car on est trop nombreux, ne pas manger de viande parce que certaines pratiques amènent trop de souffrance.

Je prône plutôt un retour vers soi qui lui, amènera du respect pour notre environnement. N’oublions pas que nous sommes des êtres vivants faisant partie de la nature, et que la première planète à écouter est, selon moi, notre monde intérieur.

L’extérieur ne s’en portera que mieux.

Que pensez-vous de mettre plus souvent les pieds dans la terre (vos enfants aussi !), revenir à une vie plus simple et dans le respect de notre rythme biologique ?

Pollution psychique pieds dans la terre

Pollution et pollution psychique : On ne peut pas sauver la planète

Cette expression un brin prétentieuse nous laisse penser que, nous, petits êtres humains, pourrions empêcher ce qui doit être, d’arriver. Mais comment pouvons-nous savoir ce qui sert vraiment ?

L’Humain fonctionne généralement de la manière suivante : il a besoin d’être confronté à un choc pour prendre conscience de ce qui est important.

L’Australie en proie à des incendies depuis de nombreuses années vient mettre en lumière une politique qui a préféré faire de l’eau une ressource spéculative.

Ce fait est une occasion pour les êtres humains de réaliser ce qui sert la vie et ne la sert pas, et de faire des choix en conséquence.

Avoir des pratiques écologiques est une démarche qui permet d’aller dans le sens naturel de la vie et d’augmenter la conscience de ses gestes et de leur impact. Mais la planète se sauvera toute seule 😉

Pollution psychique sur Terre

La vie est indestructible : seule la forme change

L’enseignant spirituel Michael Roads fait de nombreuses expériences métaphysiques. Retrouvez son univers dont un de ses livres, Pénétrer le monde secret de la nature.

Dans une de celles-ci, il a vu une forêt massacrée par des bûcherons,  il s’est assis sur un tronc et a pleuré. Une fois son émotionnel évacué, il a été voir ce qu’il se passait sur un plan métaphysique (ou invisible pour nos yeux physiques). Et bien, aussi extraordinaire que cela puisse paraître, la forêt était toujours là.

On peut en conclure que même si la forme change, la vie est indestructible. On ne peut pas tuer la vie.

Empreintes vie
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